La faculté de droit de l’Université d’Ottawa propose des programmes de maîtrise en droit et de doctorat en droit. Au niveau de la maîtrise, elle offre également une LL.M. concentration spécifique en droit, politique et éthique de la santé. Nous offrons aux étudiants et étudiantes des cycles supérieurs la possibilité de participer à un large éventail de projets de recherche de pointe dirigés par le plus grand regroupement de spécialistes en droit de la santé et nous offrons aussi le plus vaste choix de cours dans ce domaine au Canada.
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La faculté de droit de l’Université d’Ottawa propose des programmes de maîtrise en droit et de doctorat en droit. Au niveau de la maîtrise, elle offre également une LL.M. concentration spécifique en droit, politique et éthique de la santé. Nous offrons aux étudiants et étudiantes des cycles supérieurs la possibilité de participer à un large éventail de projets de recherche de pointe dirigés par le plus grand regroupement de spécialistes en droit de la santé et nous offrons aussi le plus vaste choix de cours dans ce domaine au Canada.
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Le CDPÉS et l’Institut de recherche Santé Bruyère ont établi un partenariat stratégique pluriannuel, afin de promouvoir l’avancement de la santé, de la technologie et de l’apprentissage humain par le biais d’une collaboration axée sur leurs domaines de recherche communs.
For the first time, a new study has estimated life expectancy across neighbourhoods in Canada’s largest cities – the first in Canada to drill down below the levels of provinces and cities to census tracts, the smallest level of geography that can support estimates of life expectancy. The results are disturbing. Read an op ed by CHLPE's Michael Wolfson in the Globe & Mail...
Opposition leader Pierre Poilievre has promised to use the notwithstanding clause to enact criminal justice reform if elected. Liberals have pointed to this as an indication that Conservatives would use it for other things, including restricting abortion. How much of this is political posturing from either side? How huge a precedent would using the notwithstanding clause this way represent? CHLPE's Daphne Gilbert on The Big Story podcast.
La professeure Jennifer Chandler a reçu le prix Steven Hyman (2024). Remise par l’International Neuroethics Society (INS), cette distinction internationale est l’une des plus prestigieuses dans le domaine, ce qui témoigne de la grande influence et du leadership de la professeure Chandler au sein de la communauté mondiale de la neuroéthique.
La publication en libre accès découlant de la conférence « Frontières, Limites, Pandémies » du CDPÉS est disponible ! Le livre examine comment la pandémie de COVID-19 a engendré un environnement nouveau et difficile dans lequel les frontières dessinées autour des personnes, des lieux et des structures sociales se sont durcies et de nouvelles ont émergé. Il examine comment les organisations internationales, les pays et les institutions de ces pays devraient concevoir et gérer les frontières alors que le monde continue de lutter contre la COVID-19 et se prépare à la prochaine pandémie. Mobilisant une série d’exemples internationaux et infranationaux, le livre thématise les principaux enjeux du contrôle et de la gestion des frontières dans l’intérêt de la santé publique. Des versions open access et hardcover sont disponibles.
Margaret MacAulay, Patrick Fafard, Adèle Cassola et Michèle Palkovits ont remporté cette année le prix Ken Young pour le meilleur article dans le prestigieux Policy & Politics. Dans Analysing the ‘follow the science’ rhetoric of government responses to COVID-19 (accès ouvert), les auteur(e)s soutiennent que pendant la pandémie de COVID-19, les affirmations répétées des gouvernements selon lesquelles « suivre la science » était en fait une abdication de la responsabilité par les politiciens. Ils soutiennent qu’il est impossible de prendre des décisions stratégiques fondées uniquement sur des données scientifiques (ne serait-ce que parce que « la science » est toujours contestée) et antidémocratique (parce que les gouvernements sont élus pour équilibrer un éventail de priorités et d’intérêts dans leurs décisions). Ils prouvent que ces affirmations de suivre la science ne visaient pas tant à respecter strictement les conseils scientifiques qu’à détourner le blâme pour les échecs politiques ou les décisions désagréables. Ils concluent que, dans les pays démocratiques mûrs, le crédit et le blâme des décisions gouvernementales sont assumés par les politiciens élus, et non par ceux nommés pour les conseiller. De façon cruciale, leurs recherches soulèvent d’importantes questions sur le lien entre la science et la politique et sur la façon dont ces dernières peuvent manipuler les premières à des fins politiques.